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Bayer: Un actionnaire veut le remplacement rapide du DG, selon la presse


Logo de Bayer AG dans une usine du fabricant allemand de produits pharmaceutiques et chimiques à Wuppertal. /Photo prise le 9 août 2019/REUTERS/Wolfgang Ratta

 

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FRANKFURT (Reuters) — Un actionnaire de Bayer (ETR:BAYGN), Deka, a demandé le remplacement du directeur général Werner Baumann avant son départ prévu, ajoutant à la pression croissante sur le fabricant allemand de médicaments.

«Bayer a besoin d’un nouveau positionnement stratégique, qui ne peut être réalisé de manière crédible sous la direction de Werner Baumann», a déclaré au journal Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung (FAS) le responsable de la gouvernance d’entreprise chez Deka, Ingo Speich, selon des propos publiés samedi.

La société de fonds communs de placement fait partie des 20 plus grands actionnaires de Bayer.

«Le président Norbert Winkeljohann dispose d’une fenêtre d’opportunité pour agir avant l’assemblée générale annuelle de fin avril. Il doit saisir cette opportunité, sinon la pression sur lui augmentera également», a ajouté Ingo Speich.

Selon lui, le successeur devra venir de l’extérieur de l’entreprise.

«D’une manière générale, nous sommes toujours ouverts à un dialogue constructif avec nos parties prenantes», a déclaré un porte-parole de Bayer, refusant de commenter spécifiquement l’interview.

Malgré les récentes améliorations dans le secteur agricole de la société et les perspectives de développement de médicaments, le titre de Bayer a souffert des litiges dus à l’herbicide Roundup à base de glyphosate et à la pollution liée à des produits chimiques connus sous le nom de PCB.

Ces litiges ont été hérités du rachat de Monsanto (NYSE:MON), pour plus de 60 milliards de dollars, en 2018.

Werner Baumann, artisan de l’accord conclu avec Monsanto, a été reconduit en 2020 jusqu’en 2024 et a déclaré à l’époque qu’il quitterait l’entreprise à l’échéance de ce mandat.

Union Investment, un groupe de fonds communs de placement, a critiqué il y a une semaine le président de Bayer pour son manque d’engagement, notamment en ce qui concerne l’exploration d’une scission de la division «santé grand public» de l’entreprise.

Bayer est également confronté aux demandes de l’investisseur activiste Bluebell Capital Partners, qui souhaite un démantèlement de l’entreprise, notamment la vente de son unité de santé grand public et, plus tard, une séparation de ses activités pharmaceutiques et agricoles.

Un autre fonds activiste, Inclusive Capital Partners, a également déclaré ce mois-ci avoir acquis une participation dans Bayer.

(Reportage de Ludwig Burger, version française Benjamin Mallet)

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