Economie

«La BCE devrait relever ses taux à 3% en 2022. Si ce n’est pas le cas, elle n’est pas crédible» (Natixis)



 

99V33…
0,00%

Ajouter au/Supprimer du portefeuille

Ajouter à la Watchlist

Ajouter position

Position ajoutée avec succès à :

Veuillez attribuer un nom à votre portefeuille de titres

Type:

Achat
Vente

Date:

 

Quantité:

Cours

Valeur du point:


Levier:

1:1
1:10
1:25
1:50
1:100
1:200
1:400
1:500
1:1000

Commission:


 

Créer une nouvelle Watchlist
Créer

Créer nouveau portefeuille de titres
Ajouter
Créer

+ Ajouter une autre position
Fermer

Investing.com — Les marchés retiennent leur souffle jeudi dans l’attente de la décision de la Banque centrale européenne (BCE) sur le taux d’intérêt. Une hausse de 75 points de base est attendue, et de nombreux experts vont plus loin et envisagent des objectifs à court terme pour l’organisme.

«Il y a peu de doute que la BCE relèvera 75 points de base lors de la réunion de ce jeudi. Les pressions inflationnistes se propagent dans l’économie européenne et les anticipations de hausse des prix s’installent dans les processus de décision des agents économiques. Bien que le contexte macroéconomique hautement volatile justifie l’approche «réunion par réunion» de la banque centrale, la BCE devra clarifier sa feuille de route«, note Mabrouk Chetouane, responsable de la stratégie de marché mondiale chez Natixis (NYSE :99V33V1Z3=MSIL) IM Solutions.

«A l’horizon 2023, la BCE devra choisir entre la préservation de la stabilité financière et la lutte contre l’inflation dans un contexte à haut risque, notamment en termes de croissance économique. L’exercice s’annonce délicat», ajoute-t-il.

«Néanmoins, nous continuons de penser que la BCE devra relever son principal taux de refinancement à 3% d’ici la fin de l’année, car un niveau inférieur n’est pas crédible face à la dynamique inflationniste actuelle. Pour atteindre son objectif de stabilité des prix sans mettre en péril la stabilité financière, la BCE devrait reporter temporairement l’ajustement de la taille de son bilan», conclut Chetouane.

«Tout programme de resserrement quantitatif devra attendre le premier trimestre de 2023, une fois que la plupart des ajustements de taux d’intérêt seront derrière nous. Dans ce contexte, le principal risque est que les marchés sous-estiment la détermination de la BCE à relever les taux directeurs à ces niveaux, compte tenu du contexte économique délicat. L’exercice d’équilibrage est certainement difficile et augmenterait certainement l’examen de la communication des membres du Conseil de la BCE», conclut-il.

Source

Похожие статьи

Добавить комментарий

Ваш адрес email не будет опубликован. Обязательные поля помечены *

Кнопка «Наверх»