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Le blé tombe à son plus bas niveau depuis 10 semaines alors que l’accord sur les céréales en Ukraine est prolongé



 

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Par Geoffrey Smith

Investing.com — Les prix du blé ont chuté jeudi après que l’Ukraine et la Turquie ont confirmé que l’accord visant à sauvegarder les exportations de céréales et d’engrais de l’Ukraine sera prolongé de 120 jours.

À 04h45 ET (09h45 GMT), les Futures américaines du blé étaient en baisse de 2,7% à 7,95 $ le boisseau, leur plus bas niveau en deux mois et demi. {Les contrats à terme sur le maïs américain ont baissé de 1,2% à 6,56 dollars le boisseau.

Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, qui a négocié l’accord initial avec l’aide de l’ONU, a annoncé sur les médias sociaux que «l’accord sur le corridor de la mer Noire sera prolongé de 120 jours à partir du 19 novembre», ce qui corrobore les annonces faites précédemment par Kiev.

Le ministère russe des affaires étrangères, quant à lui, a confirmé à l’agence de presse TASS qu’il «n’a pas l’intention de rompre l’accord».

Le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a également salué l’accord, déclarant que «cette initiative démontre l’importance d’une diplomatie discrète pour trouver des solutions multilatérales.»

La prolongation de l’accord est un soulagement important pour les marchés alimentaires mondiaux, qui ont mal réagi à la guerre en Ukraine qui a perturbé l’approvisionnement de deux des plus importants exportateurs mondiaux. L’accord a permis à l’Ukraine d’exporter plus de 11 millions de tonnes de denrées alimentaires depuis qu’il a été conclu cet été, atténuant ainsi une crise alimentaire imminente dans certains des pays les plus pauvres du monde.

La nouvelle était attendue, mais les prix avaient encore intégré le risque d’un abandon de l’accord après certaines déclarations ambivalentes de la Russie ces derniers jours, et dans un contexte de nervosité persistante suite à l’explosion d’un missile sur le territoire polonais mardi, qui a brièvement menacé une escalade de la guerre.

Comme condition préalable à l’extension de l’accord, la Russie avait insisté pour obtenir de nouvelles garanties que ses exportations d’ammoniac — un intrant essentiel pour les engrais à base de nitrate — ne seraient pas sanctionnées. Toutefois, elle semble avoir accepté une prolongation même sans ces garanties. Reuters a rapporté que la question des exportations russes d’ammoniac était toujours en discussion. Avant la guerre, la Russie exportait plus de 2 millions de tonnes d’ammoniac par an via un pipeline qui va de Togliatti sur la Volga au port ukrainien d’Odessa.

Selon certains rapports, le président ukrainien Volodymyr Zelensky insiste pour que la Russie accepte un échange complet de prisonniers avant de donner le feu vert aux exportations d’ammoniac russe.

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