Economie

Les marchés dans le doute : Que faire si la BCE est trop optimiste ?



 

FCHI
-0,31%

Ajouter au/Supprimer du portefeuille

Ajouter à la Watchlist

Ajouter position

Position ajoutée avec succès à :

Veuillez attribuer un nom à votre portefeuille de titres

Type:

Achat
Vente

Date:

 

Quantité:

Cours

Valeur du point:


Levier:

1:1
1:10
1:25
1:50
1:100
1:200
1:400
1:500
1:1000

Commission:


 

Créer une nouvelle Watchlist
Créer

Créer nouveau portefeuille de titres
Ajouter
Créer

+ Ajouter une autre position
Fermer

DE40
-0,22%

Ajouter au/Supprimer du portefeuille

Ajouter à la Watchlist

Ajouter position

Position ajoutée avec succès à :

Veuillez attribuer un nom à votre portefeuille de titres

Type:

Achat
Vente

Date:

 

Quantité:

Cours

Valeur du point:


Levier:

1:1
1:10
1:25
1:50
1:100
1:200
1:400
1:500
1:1000

Commission:


 

Créer une nouvelle Watchlist
Créer

Créer nouveau portefeuille de titres
Ajouter
Créer

+ Ajouter une autre position
Fermer

Par Laura Sánchez

Investing.com — Les marchés européens sont mitigés — Ibex 35, CAC 40, DAX… — à quelques jours de la décision sur les taux d’intérêt de la Banque centrale européenne (BCE). Aujourd’hui, nous serons attentifs à une nouvelle apparition de Christine Lagarde, présidente de l’organisation.

Les experts se demandent si la BCE ne serait pas trop belliqueuse dans sa stratégie de politique monétaire. L’économiste senior de Federated Hermes, Silvia Dall’Angelo, met en garde contre le risque que la BCE finisse par resserrer les taux «trop», car les risques pour l’économie «restent prononcés».

«Les commentaires hawkish de la BCE cette semaine ne sont pas surprenants à la lumière des données économiques récentes et de l’évolution de l’inflation. L’économie de la zone euro s’est mieux comportée que prévu pendant la crise énergétique : une stagnation pendant quelques trimestres à la fin de l’année semble désormais plus probable qu’une contraction pure et simple du PIB», commente-t-elle.

«Il est vrai que la chance a joué un rôle, puisque les températures hivernales ont été douces jusqu’à présent, mais la préparation et la longue traîne de la dynamique de reprise post-Covid ont également soutenu la résilience économique. Un plan budgétaire pluriannuel visant principalement les membres les plus vulnérables de la zone euro et, plus récemment, la réouverture rapide de l’économie chinoise sont des sources de risque à la hausse pour les perspectives économiques de la zone euro, même si nous pensons que l’impact mondial de cette phase de la reprise en Chine sera limité», note M. Dall’Angelo.

À court terme, explique-t-elle, la trajectoire de la BCE est fixée et les taux vont continuer à augmenter dans les mois à venir. Une hausse des taux de 50 points de base est attendue lors de la réunion de la semaine prochaine, et il est peu probable que ce soit la dernière, à moins que les prévisions actualisées de mars ne fournissent des perspectives d’inflation et de croissance radicalement différentes de celles de décembre.

«À plus long terme, les risques qui pèsent sur les perspectives de croissance restent importants, principalement en raison de la hausse structurelle des prix de l’énergie et d’un ralentissement — voire d’une récession — aux États-Unis dans le courant de l’année. En définitive, l’évolution des données déterminera la durée et l’ampleur du resserrement de la politique monétaire de la BCE. Étant donné que les banques centrales agissent lentement et que les données fournissent une image rétrospective de la situation économique, il y a un risque que la BCE finisse par trop se resserrer», conclut M. Dall’Angelo.

Source

Похожие статьи

Добавить комментарий

Ваш адрес email не будет опубликован. Обязательные поля помечены *

Кнопка «Наверх»