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Un regard vers 2023 : la perspective d’Investing.com



 

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Par Francesco Casarella

Investing.com — Nous approchons de la fin de l’année 2022, une année extrêmement compliquée mais, à certains égards, très instructive.

Tout d’abord, si l’on regarde ce qui s’est passé depuis janvier et octobre, nous avons connu respectivement la pire année pour le marché obligataire, l’une des pires années pour le marché des actions, la pire année pour le portefeuille équilibré 60/40, une inflation croissante qui a érodé le pouvoir d’achat (donc même la liquidité dans ce cas n’a pas été épargnée) et seules les matières premières et les valeurs énergétiques ont résisté avec une performance positive.

Outre ces classes d’actifs, le dollar s’est également bien comporté, ce qui a toutefois été particulièrement négatif pour les actions américaines, avec de nombreuses sociétés dont 50 % ou plus du chiffre d’affaires provient de l’étranger (voir plusieurs grands Tech).

La difficulté de ce marché baissier étrange et particulier a donc été, à mon avis, double :

  • Longue durée, environ 12 mois (à ce jour) contre 1,5 mois pour la chute de Covid.
  • Chute généralisée de toutes les grandes classes d’actifs (actions et obligations).

2023 : Quelques réflexions

Je dis toujours dans mes analyses que personne ne peut savoir ce qui se passera dans 1 mois ou 1 an, mais nous pouvons établir des stratégies de cause à effet en fonction des différents scénarios auxquels nous sommes confrontés.

Plusieurs problèmes ont affecté les marchés l’année dernière, notamment le conflit en Ukraine (en particulier pour les marchés européens), l’inflation et les hausses de la Réserve fédérale (la banque centrale américaine).

Or, dans l’enquête de novembre, l’inflation a finalement donné le signal à la baisse que les marchés attendaient (ce n’est pas un hasard si ce jour-là le S&P 500 a fait +5,54% et le Nasdaq +7,35%), et même la Fed, malgré les fortes hausses, devrait commencer à fixer au premier trimestre le point de sortie de cette politique monétaire agressive (en novembre les taux ont été portés à 4% après 0,75%, le point de retournement, le fameux «pivot», devrait se situer entre 5 et 5,5%).

Nous pourrions donc assister, avec une inflation en baisse, une Fed plus souple et peut-être un dollar plus faible, à une reprise des principales classes d’actifs, notamment les actions et les obligations.

En particulier, les mêmes valeurs technologiques qui ont été si lourdement pénalisées en 2022, pourraient se redresser (en pensant plus sélectivement), car elles ont des valorisations bien meilleures aujourd’hui (baisses de 50, 60 et même 70% dans certains cas). Ceci est vrai même en cas de scénario de récession, que beaucoup évoquent, car historiquement une telle situation les favoriserait de toute façon, donc je m’attends à une bonne reprise sinon pour tous, du moins pour une bonne partie d’entre eux.

En ce qui concerne l’Europe, le secteur bancaire et le secteur financier en général (je pense aussi à la gestion d’actifs) pourraient être favorisés par une situation de taux d’intérêt plus élevés (donc de marges plus importantes) et une reprise des prix (qui pousserait les investisseurs à revenir sur les marchés et donc à améliorer les revenus et les actifs sous gestion).

Je termine par le thème du pays, où, à mon avis, la Chine a été le grand perdant de cette année 2022 en raison de ses politiques strictes sur le Covid et de la question éventuelle de Taïwan. La confirmation du leader Xi Jinping a également généré beaucoup de tensions, mais je pense que toute la zone asiatique a été trop pénalisée, elle mérite donc la confiance. Enfin, du côté des titres à revenu fixe, les obligations de qualité sont de nouveau en faveur, surtout si l’inflation revient effectivement à des niveaux plus bas et que les spreads se resserrent.

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