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Un responsable ukrainien diffuse une vidéo montrant une «chambre de torture»


Un centre de détention à Kherson, qui, selon les Ukrainiens, a été utilisé par des soldats russes pour emprisonner et torturer des personnes. /Photo prise le 16 novembre 2022/REUTERS/Murad Sezer

 

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(Reuters) — Le commissaire aux droits de l’Homme du Parlement ukrainien, Dmitro Loubinets, a diffusé jeudi une vidéo montrant ce qu’il a décrit comme étant une chambre de torture utilisée par les forces russes lorsqu’elles occupaient la région de Kherson.

Dmitro Loubinets a publié la vidéo sur les réseaux sociaux après que le ministre ukrainien de l’Intérieur a annoncé que des enquêteurs avaient découvert 63 corps montrant des traces de torture.

Reuters n’a pas été en mesure de vérifier les allégations de Dmitro Loubinets. La Russie affirme que ses soldats ne ciblent pas les populations civiles et ne commettent aucune atrocité.

Dans la vidéo, un homme d’âge moyen affirme avoir été détenu pendant 24 heures dans l’une des pièces. Il indique avoir été attaché sur une chaise et avoir reçu des chocs électriques «jusqu’à en perdre conscience».

«Ils posaient les questions qu’ils voulaient et obtenaient les réponses qu’ils voulaient», a-t-il dit. «L’un après l’autre. Ils préparaient une série de questions et écrivaient tout ce qu’ils voulaient.»

Selon Dmitro Loubinets, les lieux n’étaient pas conçus pour accueillir un grand nombre de personnes. Le commissaire aux droits de l’Homme du Parlement ukrainien a dit que jusqu’à 25 personnes étaient retenues en même temps dans une pièce exiguë.

«Vous voyez que les personnes détenues ici n’avaient pas le droit de se rendre aux toilettes», explique-t-il dans la vidéo diffusée sur Telegram et Facebook (NASDAQ:META).

Le ministre de l’Intérieur ukrainien avait annoncé plus tôt dans la journée que 63 corps présentant des signes de torture avaient été découverts dans la région de Kherson par des enquêteurs, selon les médias ukrainiens.

Denys Monastyrski a déclaré que les forces de l’ordre ukrainiennes avaient mis au jour 436 cas de crimes de guerre durant l’occupation de la région de Kherson par les forces russes. Onze lieux de détention ont été découverts, dont quatre où des tortures ont été pratiquées, a-t-il ajouté.

Un commissariat connu sous le nom du «Trou» est l’un des sites de triste renommée où des personnes ont été interrogées et torturées durant les neuf mois qu’a duré l’occupation russe, selon les déclarations faites à Reuters par des dizaines d’habitants de Kherson.

(Reportage Ron Popeski; version française Camille Raynaud)

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