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Khashoggi: «MBS» bénéficie de l’immunité juridique, dit l’administration Biden


Le président américain Joe Biden et le prince héritier saoudien Mohammed bin Salman arrivent pour une réunion dans un hôtel à Djeddah, en Arabie saoudite. /Photo prise le 16 juillet 2022/REUTERS/Mandel Ngan

 

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par Dan Whitcomb et Steve Holland

WASHINGTON (Reuters) — L’administration Biden a établi que le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane bénéficiait de l’immunité juridique dans le cadre d’un procès pour le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi en 2018 au consulat d’Arabie saoudite à Istanbul.

Critique de celui que l’on surnomme «MBS», Jamal Khashoggi a été vu pour la dernière fois alors qu’il entrait dans le consulat d’Arabie à Istanbul le 2 octobre 2018.

Le journaliste y a été tué et son corps a été démembré par des agents saoudiens, une opération commanditée, selon le renseignement américain, par Mohammed ben Salmane.

«Jamal est de nouveau mort aujourd’hui», a écrit sur Twitter (NYSE:TWTR) Hatice Cengiz, qui était fiancée au journaliste au moment de son décès.

«Nous pensions que nous pourrions peut-être voir briller la lumière de la justice aux Etats-Unis, mais l’argent l’a encore une fois emporté», a-t-elle ajouté plus tard.

Un porte-parole du consulat saoudien à Washington n’a pas pu être joint jeudi soir.

«Il s’agit d’une décision juridique prise par le département d’Etat en vertu des principes bien établis du droit international coutumier», a déclaré un porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche dans un communiqué. «Cela n’a rien à voir avec le fond de l’affaire.»

Dans un document déposé auprès de la Cour fédérale du district de Columbia, les avocats du département américain de la Justice ont indiqué que «l’immunité des chefs d’Etat est un principe bien établi du droit international coutumier».

Les avocats ont ajouté que l’exécutif américain avait «établi que le défendeur, (Mohammed) ben Salmane, bénéficiait, en tant que chef d’Etat d’un gouvernement étranger, de l’immunité juridique aux Etats-Unis».

(Reportage Dan Whitcomb, avec la contribution de Steve Holland, Brad Brooks et Mike Scarcella; version française Camille Raynaud)

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