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La Russie n’a plus que le pétrole, selon le conseiller de Biden



 

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Investing.com — Le pétrole est tout ce qui reste à l’économie russe après l’invasion de l’Ukraine au début de l’année, selon Amos Hochstein, conseiller spécial pour le président Joe Biden.

«Le pétrole est la seule chose qui leur reste dans cette économie… Poutine a détruit le reste de l’économie. Tout ce qui lui reste, c’est ce qui sort du sol. Il ne vend plus son gaz à l’Europe, donc tout ce qu’il a, c’est le pétrole, et c’est ce qui finance cette guerre.»

L’économie russe s’est contractée de 4 % en glissement annuel au deuxième trimestre, et la Banque centrale de Russie s’attend à ce que le ralentissement s’accentue dans les trimestres à venir. Le Fonds monétaire international prévoit que le PIB de la Russie se contractera de 3,4 % en 2022.

La Russie était le plus grand fournisseur de gaz naturel et d’huiles de pétrole de l’UE en 2021, selon Eurostat, mais les exportations de gaz de la Russie vers l’Union européenne ont glissé cette année.

«Malgré les capacités de production et de transport disponibles, la Russie a réduit ses fournitures de gaz à l’Union européenne de près de 50 % en glissement annuel depuis le début de 2022», selon l’Agence internationale de l’énergie.

À ce titre, Hochstein a souligné l’importance d’agir maintenant pour garantir un environnement plus sûr pour le développement des technologies futures au sein du secteur de l’énergie.

«Heureusement ou malheureusement, l’énergie est aujourd’hui le problème numéro un dans le monde. Et vous savez, nous sommes ici en train de parler de pétrole et de gaz, mais la transition énergétique — regardez ce que nous venons d’adopter aux États-Unis, le plus grand investissement climatique, qui correspond bien à ce que font des pays comme les EAU, et certains autres pays dans le monde.»

Il a ajouté que ces investissements, dans les chaînes d’approvisionnement et l’avenir de l’énergie plus largement, devaient être réalisés «aujourd’hui.»

«Pour que nous ne nous retrouvions pas avec la même géopolitique de l’énergie pour les énergies renouvelables et les véhicules électriques que celle que nous avons connue au XXe siècle pour le pétrole et le gaz».

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