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Placements : l’obligataire, un choix lucratif !

 

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Publié à l’origine sur la Bourse au quotidien.fr

Le marché obligataire est un segment complexe. Pourtant, l’ignorer cette année pourrait être une grave erreur, tant les bénéfices l’emportent sur les risques…

Cette année, l’investissement obligataire semble offrir le beurre et l’argent du beurre.

Le beurre, tout d’abord, car ce compartiment est par nature moins risqué que le segment des indices/actions.

Sur une action par exemple, si un problème de financement/de bilan apparaît, le cours de Bourse peut très vite plonger de plusieurs dizaines de pourcents.

Dit autrement, si vous vous trompez en « achetant la mauvaise action », vous pourrez très vite perdre une grosse partie de votre investissement (voire la totalité).

D’autant qu’en cas de défaut pur et simple (l’équivalent du Chapter 11 outre-Atlantique), l’actionnaire est tout simplement le dernier à être considéré (si tant est qu’il reste quelques miettes à récupérer).

Ce n’est pas le cas de l’investisseur obligataire qui, lui, selon sa tranche et sa prise de risque, peut espérer être mieux servi.

Le cours des obligations va s’apprécier…
Cela ne vous aura pas échappé, l’un des thèmes centraux des marchés cette année est la question du pivot de la Fed, notamment son timing.

Les marchés l’attendaient pour le mois prochain, mais ils devront vraisemblablement patienter. En effet, dernièrement, les statistiques montrent que l’économie américaine se porte bien, ce qui ne fait que repousser encore et encore le calendrier de la détente monétaire (le curseur du consensus des économistes s’étant désormais décalé sur la fin du printemps/le début de l’été).

A ce sujet, cette semaine, plusieurs statistiques seront à nouveau à suivre sur le front de l’inflation, notamment jeudi l’indice PCE (l’indice des Prix de Base de la Consommation des Particuliers, très surveillé par Jerome Powell et ses compères). Pour autant, plus que la question du timing de court terme, il ne fait guère de doute qu’une détente sur les taux d’intérêt suivra dans les mois à venir.

L’avantage est qu’ici, vous êtes dans le sens des banques centrales.

Dit autrement, une baisse des rendements ira de pair avec un rebond des cours des contrats (pour rappel, contrats et rendements évoluent en sens opposé).

Sur le dix ans américain par exemple, (cf. ci-dessous sur le graphique hebdomadaire du TNote), un franchissement de la résistance oblique noire me semble très probable cette année.

Placements : l’obligataire, un choix lucratif !

Si tel est effectivement le cas, tout acheteur bénéficiera directement d’une hausse du cours dudit contrat.

… Et les rendements vont continuer de grimper !
Passons à « l’argent du beurre » : votre obligation, en plus de voir son cours s’apprécier, vous rapportera un rendement non négligeable.

Par exemple, pour rester sur le cas de la dette américaine à dix ans, après avoir tutoyé le cap des 5 % fin octobre 2023 (cf. pointillés noirs sur mon graphique antérieur), elle vous rapporte à l’heure où je rédige ces lignes 4,30 %.

Si je vous parle ici du compartiment de la dette d’Etat (c’est-à-dire les Bund, OAT et autres TNote/TBond etc.), c’est pour imager le concept. Mais cela s’étend évidemment à la dette d’entreprise, avec un fonctionnement relativement similaire.

Ces dernières années, la prime à la qualité a dominé. Les signatures de premier plan (c’est-à-dire les big caps type Air Liquide (EPA:AIRP) et autres TotalEnergies) n’ont jamais eu aucun problème pour attirer les investisseurs – on l’a vu avec les dernières statistiques outre-Atlantique, notamment les émissions de dette record rien que sur ce mois de février.

A ce sujet, un autre article de Bloomberg paru ce matin illustrait la chose.

Personnellement, je m’intéresse moins à ce compartiment de l’obligataire corporate, peut-être à tort, ou tout simplement par manque de temps (on ne peut pas être partout sur les marchés).

Il n’empêche qu’avec des taux sans risque là où ils sont aujourd’hui, le high yield n’est pas dénué d’intérêt.

A ce propos, restez bien à l’écoute car notre expert américain des revenus passifs, Marc Lichtenfeld, a justement développé pour vous LE service qui vous permettra de dégager des revenus réguliers sur les placements obligataires.

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